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Par vanbellepaul le 29 Juillet 2009 à 20:06
PARTIE 4
Lorsque la famille part en voyage, ils ont le choix des bagages, ils peuvent choisir, parfois les couleurs sont en rapport avec le pays ou ils passent leurs vacances et même, suivant le temps qu’ils vont rencontrer arrivé sur place.
S’ils partent en Hongrie, les bagages seront plutôt d’une couleur fade, mais par contre, s’ils partent à la Côte d’Azur la, leurs bagages sera d’une couleur pastel rose, jaune.
C’est une famille honorable et assez aisée, évidemment, Pierre est voyageur de commerce pour une grosse Société Française et son travail consiste à trouver des marchandises et même des services, qui ne sont pas encore commercialisés en France.
Il cherche également à trouver de nouveaux marchés, dans les quelques pays qu’il visite pour son entreprise et ce dans tous les domaines, qu’ils soient dans l’aéronautique, trouver de nouveaux composant pour des pièces en aviation, l’informatique, trouver de nouveaux logiciels.ETC...
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Par vanbellepaul le 29 Juillet 2009 à 20:06
PARTIE 3
Un petit paquet blanc, fut disposé dans son sac de voyage, son bagage à main entre-ouvert pour sortir son billet d’embarquement qu’il va emporter dans la cabine.
Pierre n’a rien senti et son bagage, est resté un long moment ouvert et c’est la, que le personnage aux renseignements a délicatement glissé son petit paquet blanc, entouré d’un papier plastique imprimé avec ces quelques mots : A votre retour à Paris, allez au kiosque à journaux de la gare d’Orly demandez Monsieur Vladimir Karanov, qui sera présent et remettez lui le paquet. Attention, ne faites pas le con, nous savons qui vous êtes.
Pierre n’utilisera pas son sac de voyage, il a ces papiers et son porte feuille sur lui et n’aura pas besoin d’ouvrir ce bagage.
Il rentre donc tout droit à la maison, il ne passera pas par le kiosque à journaux, embrasse sa femme Claudine et sa fille Marie-Line, qui viens de rentrer de l'université, nous sommes le vendredi 18 Heures, il dépose son bagage dans la penderie prévue pour déposer les sacs de voyage.
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Par vanbellepaul le 29 Juillet 2009 à 16:08
PARTIE 7
Un jour pourtant, un touriste Anglais qui comprenait la langue Française convenablement, à la place d’aller au kiosque à journaux prévu, est allé directement au bureau de police de son quartier à Londres, ou il explique aux policiers qu’il voyageait en touriste dans le sud de l’Italie, en expliquant qu’en arrivant chez lui, en sortant les clefs de son appartement, il trouva ce petit colis.
Directement, je suis passé par chez vous pour vous le remettre.
Asseyez vous lui dit un inspecteur, ce ne sera pas long, C’est ainsi qu’Albert Grosman est en attente, sur un banc dans le corridor du bureau de police de son quartier.
Le commissaire le fit rentrer dans son bureau avec une certaine méfiance.
Vous vous appelé Albert Grosman, oui et votre adresse est Ilmanton 17 et vous êtes marié à Madame Arlette, oui.
Des Policiers spécialisés en analyses, commencent à ouvrir le sachet, et décèlent très vite, que c’est de la cocaïne très pure.
Monsieur,Grosman, un inspecteur, vas vous conduire dans un autre bureau et à peine entré dans ce bureau : Monsieur Grosman, il est 17 Heure et vous êtes mis en garde à vue, enlevez vos chaussures, lacets et videz vos poches.
Le pauvre Albert, ne comprend rien à ce qui lui arrive, il est conduit dans un cagibi de deux mètres sur deux mètres aux murs sales et remplis de graffitis aux noms que je ne citerai pas ici.
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Par vanbellepaul le 29 Juillet 2009 à 14:37
PARTIE 9
Ce n’est qu’après une quinzaine d’heure de garde à vue, qu’Albert est libre, les flics, ont fait une perquisition à son domicile, sa femme venait de rentrer de son travail et étonnée de voir cinq flics frapper à la porte qui hurlaient dans le couloir de l’immeuble, au vu et au sus de tous les habitants, intrigués de ce qui ce passait.
Police, ouvrez.
C’est sans ménagement qu’ils commencèrent à vider les armoires, en disant à madame Grosman restez la et ne bougez pas en exhibant un papier avec marqué en grand dessus, Ordre de Perquisition.
Deux policiers, qui devaient être plus gentil que les autres, explique à Madame Grosman, que son mari, leur a apporté un petit paquet de drogue au commissariat et que suite à cela, il l’on placé en garde à vue.
Chez Madame Grosman, tout est claire, la police n’a rien trouvé de compromettant.
Elle peut donc ranger ces affaires et un des policiers, lui dit que son mari va bientôt arriver.
Albert Grosman, sort donc du commissariat et vas directement rejoindre sa femme.
Les policiers, ont analysés les commentaires fournis par Albert, lors de sa garde à vue et ont bien compris, qu’il s’agît d’un réseau international qui dispose, dans le sac de voyage, des personnes ciblées au départ, leurs saloperies pour les faire passer dans plusieurs pays.
Une grande enquête démarre, qui risque d’être longue, car les policiers de Londres ne savent pas quel sont ces trafiquants pas comme les autres.
Ils savent seulement que les truands disposent dans le sac des citoyens leurs drogues dans les gares et aéroports.
Un plan ce met en route dès le lendemain matin à 9 heures.
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Par vanbellepaul le 29 Juillet 2009 à 09:25
PARTIE 8
Voyez-vous, dès le moment ou vous entrez dans un bureau de police, quand ce n’est pas pour y chercher un papier quelconque, si c’est pour signaler un fait, ou un acte divers, faites attention à ce que vous allez dire.
Malgré votre bonne fois et votre naïveté, la suspicion est toujours de mise dans un bureau de police, surtout en matière de drogue.
Pourtant Albert y était allé en toute sincérité, avec un seul but, que la police de son quartier va le croire et le comprendre.
Malheureusement, pour Albert, cela ne se passe pas comme il avait prévu, et maintenant, il est entré dans un autre monde, la ou des pas, résonnent dans le corridor et ou les bruits sont indescriptibles et ou, il attend avec impatience le bruit d’une clef rentrant dans la serrure ou, il est maintenant enfermé déjà depuis deux heures.
Des cris, ce n’est pas moi, j’ai rien fais ou, je ne l’ai pas fais exprès, il est tombé tous seul.
Cette description, n’est pas autobiographique et c’est seulement par des films policiers dont je suis friand, que je peux donner à mon histoire, une telle image, qui n’est pas forcément exacte mais qui je pense reflète plus ou moins la réalité.
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